Les grands vaisseaux de guerre la remontent jusqu’à Deptford, un peu au-dessous de Londres; les vaisseaux marchands vont jusqu’à Londres même. À la campagne, les recherches menées dans les rares archives conservées ont démontré que le paysan et sa famille, du Moyen Âge jusqu’à la Révolution, se sont nourris des produits de la ferme, auxquels s’ajoutaient ponctuellement ceux de la chasse, de la pêche, du ramassage et de la cueillette. Angleterre, se forme à Lechlade, dans le comté de Berks, de la réunion de plusieurs ruisseaux, et porte d’abord le nom d’Isis; sépare les comtés d’Oxford, Buckingham, Middlesex, Essex, de ceux de Berks Surrey, Kent, reçoit à Oxford la Charwell, à Dorchester la Thames ou Tamise, dont elle conserve le nom, baigne Reading, Windsor, Kingston, Brendford, Richmond, sépare Londres en deux parties, arrose encore Greenwich, Deptford, Woolwich, Sheerness, Margate, et va tomber dans la mer du Nord par un large estuaire, après un cours d’env. S. E. de Lichfield, au confluent de la Tame et de l’Anker, est divisée par la Tame en deux parties, dont l’une est dans le comté de Warwick, et l’autre dans celui de Stafford; 8000 hab. S. E. de Moscou; 25 000 hab
LESPARRE (André de FOIX, seigneur de), 3e frère de la belle comtesse de Châteaubriant, conquit en 1521 la Navarre que Charles-Quint refusait de livrer au jeune Henri d’Albret ; mais se laissa battre le 30 juin à Esquiros et perdit sa conquête en une seule bataille. En 480, il combattit aux Thermopyles et à Salamine ; il fut complètement défait par Pausanias à Platées, 479 et périt dans la bataille. La Vieille Auberge est une institution à Casteljaloux, reprise en octobre 2012 par Eric Menaspa en cuisine et Etienne Denaules, ceux-ci ont fait souffler un vent de jeunesse dans cette maison ancienne nichée dans le cœur historique de la commune. Dans la seule commune chef-lieu qui s’étend sur 5 000 hectares, les troupeaux de brebis atteignaient l’énorme effectif de 16 000 têtes, plus que dans tout le canton sous le premier Empire et les avé (troupeaux) de 2 000 bêtes à laine n’étaient point rares. Pauvres, belliqueux et adonnés au brigandage, les Mardes n’étaient sujets que de nom. Depuis le commencement du xiiie siècle il a appartenu à la maison de Montesquieu, dont les cadets prenaient souvent le nom de ce fief
Elles sont toutes astringentes, les unes plus, les autres moins ; cette astriction est cause qu’elles conviennent mieux aprés les repas que devant, à moins qu’il ne soit à propos de resserrer le ventre. Quand on les prend aprés le repas, elles obligent l’orifice superieur de l’estomac à se fermer plus étroitement, & en rétrecissant ainsi le haut de ce viscere, elles empêchent les rapports des viandes, & favorisent en même tems la descente des alimens digerez ; en sorte qu’elles lâchent le ventre, étant mangées aprés le repas ; & qu’elles le resserrent, étant mangées un peu auparavant. A. Maï fut honoré des plus hautes dignités de l’Église romaine : il reçut le chapeau de cardinal en 1838. Outre les publications déjà citées, on lui doit plusieurs grands recueils : Scriptorum veterum nova collectio e Vaticanis codicibus edita, Rome, 1825-38, 10 vol. Elle ne fut pas long-tems dans l’erreur ; de fréquentes palpitations de cœur qui lui survinrent, & dont elle n’avoit jamais ressenti aucune attaque, la désabuserent bien-tôt
Les maréchaux de France furent dès 1185 élevés au-dessus de tous les autres maréchaux de camp ; ils acquirent une importance de plus en plus grande, surtout après la suppression de la dignité de connétable, en 1627 ; depuis cette époque, la dignité de maréchal de France est la plus élevée de l’armée. Ce poste fut occupé sous Napoléon I par Duroc, par Bertrand, et sous Napoléon III par le maréchal Vaillant. MARÉCHAL (Sylvain), écrivain, né à Paris en 1750, mort en 1803, commença à se faire connaître par des poésies pastorales dans lesquelles il prenait le nom de Berger Sylvain ; fut quelque temps bibliothécaire à la bibliothèque Mazarine, mais perdit sa place Truffle pour la chasse avoir publié des écrits irréligieux. On place cet événement vers 453 av. J.-C. Les caractères d’Ulysse et de Philoctète y sont heureusement rendus d’après Homère; cet ouvrage est semé de vers bien faits et de maximes admirables. Je ne vous dirai rien de Vienne et de Valence ; ce n’était pas encore là mon cher Midi, mais enfin je vis se dessiner sur le Rhône, grossi par la Drôme, l’Isère et d’autres rivières, les arches innombrables du pont Saint-Esprit, se déroulant sur l’immense largeur du fleuve ; je sentis un air plus brûlant circuler autour de moi ; j’aspirai cet air de flamme, cet air natal, avec bonheur ; enfin, je vivais, je rajeunissais : cette chaleur, souvent accablante même pour les enfants du Midi, est nécessaire à mon organisation ; en la ressentant après tant d’années, j’éprouvais un ineffable bien-être
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